❝ she had water in her eyes, she cried stay with me. say how can this be loved. if you are leaving me, but darling love's to blame. ❞
Date et lieu de naissance. ✎ Je suis née ici même à Cody, le treize mai de l’année 1979, au printemps. Âge ✎ Le calcul doit pas être ton truc. J’ai trente-deux ans depuis mai dernier. Cette année je fêterais donc mes trente trois ans. Easy. Enfin je me fais tout de même un peu vieille. Occupation ✎ J’ai toujours été fascinée par l’observation, le comportement des autres que ce soit des adolescents, des adultes. Le tout m’a donc amené à des études de psychologie. Aujourd’hui j’exerce depuis un peu moins de dix ans le métier de psychologue. Le fait d’aider les autres, de percer leur coquille, de les voir évoluer, aller mieux, ce sont toutes ces petites choses qui me font sourire. Et c’est pour ces principales raisons que j’ai choisi ce métier. Orientation sexuelle ✎ hétérosexuelle. Statut social ✎ je suis mariée depuis douze ans. Je n’avais que dix-huit ans à l’époque. Certes un peu jeune mais Charles et moi on s’aimait et comme on dit « il n’y a pas d’âge quand on s’aime. » La preuve ? Après douze ans, on est toujours ensemble, enfin plus ou moins. Groupe ✎ Je connaissais Christopher et Aria, c’était des gamins du village, alors vous comprenez mieux. C’est dur de voir qu’ils sont partis. Je les croisais souvent le dimanche à la messe, ou le samedi sur le petit marché. Aujourd’hui j’ai fait mon deuil et pourtant il m’arrive de repenser à leur histoire en versant une larme. Parce qu’ils seront peut-être réunis pour toujours, mais ils ne seront que tous les deux, seuls, sans leurs parents, sans leurs amis, sans nous, habitants de Cody.
Spoiler:
Pseudo. ✎compulsive need.Prénom ✎anna-laure.Âge ✎sweet sixteen. Avis sur le forum ✎DEAR GOD ; AMEN ; SWEET JESUS ; HOLY MOTHER . Présence ✎12365 jours/sept.Un dernier mot ✎Romane gères la fougère quoi. et puis tu sais très bien que j'aime ce smiley, /sbaff/ BREEEF ON VA TROP S'ECLATER ICI J'SENS.
Dernière édition par Claire Williams-Ainsworth le Jeu 20 Jan - 21:11, édité 8 fois
Claire Williams-Ainsworth
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Sujet: Re: CLAIRE ✱ cause you broke all your promises. Mer 19 Jan - 23:14
Je me souviens encore. Je me souviens encore de cette journée comme si c’était hier. Et c'est bien la seule chose dont je me souvienne. Il faisait beau, le soleil brillait, aucun nuage pour la gâcher. Maman on y va ? On y va Maman ? J’étais pressée, enchantée, impatiente. Aujourd’hui on allait au cirque. J’avais huit ans, et c’était la première fois. J’allais enfin voir tout ce que mes amies me racontaient. Parce que elles, elles y allaient souvent au cirque, tandis que moi, non. Mais Papa et Maman m'avait expliqué que on pouvait s'amuser avec ce qu'on avait à la maison. Et c'est ce que j'avais toujours fait et jusque là ça m'avait suffit. Sauf que il y a quelques jours, c'était mon anniversaire. Et cet année cadeau, mon cadeau, ou plutôt notre cadeau, c'était une journée au cirque. Et pas n'importe lequel, un grand cirque avec pleins d'animaux sauvages et tout. J'avais attendu cette journée longtemps. J'avais mis une croix sur le calendrier, tous les jours. Et aujourd'hui on y était enfin. Des lions, des tigres, des gens qui faisaient des acrobaties. Mes yeux brillaient. J’étais à deux doigts de pleurer de bonheur. Ça peut paraître idiot comme ça, mais c’est pas tous les jours qu’on allait voir ce genre de choses. La preuve c’était la première fois que j’allais, et les rares dois où j’avais fréquenté le théâtre et bien je ne m’en rappelais plus. Allez, sinon on va être en retard. Je sautillais sur place. Comme toute petite fille de mon âge, j’affectionnais une passion particulière pour les animaux et surtout ce que je ne pouvais pas approcher comme les éléphants, les girafes, les lions etc. J’en avais déjà vu mais simplement en peinture ou en photo dans mes livres. Et cette soudaine excitation pour ces êtres revenait doucement au galop alors que ma mère appelait une nouvelle fois ma sœur. J’entendis un rire gai venant de la maison. Aussitôt Anna sortit de la maison, un sourire aussi grand que le mien. En même temps notre passion était commune. Déjà on était pareil, on était jumelle, alors il y avait premièrement ce lien fort qu’on les jumeaux, un truc que j’ai jamais compris d’ailleurs. Et puis on partageait tout, je lui prêtais mes livres, elle me prêtait les siens, on partageait la même chambre, les mêmes jouets, même peluches, pas de secrets entre nous. Alors il était normal que son excitation fût aussi grande que la mienne. Je lui ai pris la main, puis on est monté dans la voiture. Attachez bien vos ceintures mes chéries. On a hoché la tête. Dernier claquement de porte. Dernier clic de ceinture. Dernier regard vers la maison. Papa a démarré. Et mon sourire s’est perdu dans les rires et la joie qui régnaient dans la voiture.
Et pourtant je ne sais pas ce qui s’est passé. Ce qui nous est arrivé. On était une belle famille. Anna et moi on ne se disputait jamais. JAMAIS vous entendez. On était obéissantes, sages, on avait des bonnes notes à l’école. Papa et Maman ne nous engueulaient jamais pour une raison. On était à la limite d’être des petites filles modèles, excepté le fait qu’on ne portait pas des petits cardigans et des jupes plissées comme les deux autres blondes de notre classe. Enfin on ne pouvait pas faire autrement, Maman ne travaillait pas et Papa ne faisait pas un boulot qui rapporte des pièces d’or. Enfin on a toujours vécu comme ça et ça n’a jamais été un problème dans notre famille. J’dirais qu’on était presque le stéréotype de la famille parfaite. Des enfants adorables, des parents qui s’aimaient, bref la totale quoi. Et pourtant c’est sur nous, sur moi que c’est tombé. Je l’avais vu ce virage. Je l’avais vue cette voiture rouge. Je l’avais vu le type au volant, un espèce de barbu banal, un gars un peu pommé peut-être. Et pourtant mon père ne l’avait pas vu. J’entends encore le rire de ma mère sœur, se mêlant au « ATTENTION » désespéré de ma mère. Trop tard. Too late. Zu spät. J’ai vu le sourire de ma sœur s’éteindre sachant pertinemment qu’il se passait la même chose sur mon visage. Mes yeux se sont lourdement fermés, et j’ai plongé. J’ai sombré dans les abysses profonds de mon esprit. Dans mes souvenirs. Seules songes auxquels je devais me raccrocher à partir de maintenant. Je ne savais pas encore. Je ne savais pas encore que ce serait si terrible que ça. Et pourtant ça l’était. Je m’en foutais de l’autre type, de l’état de sa bagnole. Je luttai pour rouvrir mes yeux, et jeter un coup d’œil à Anna. Mais mon cerveau ne m’obéissait plus. Je luttai de toutes mes forces. Autant que je pus. Mais rien, mes paupières ne se sont pas rouvertes. J’ai sombré, comme un ange déchu, un coeur brisé, une âme en perdition.
Quand je me suis réveillée, c’était blanc. Tout était blanc. J’ai d’abord eu du mal à ouvrir les yeux, et enfin j’ai senti tous mes membres engourdis. Ma tête me faisait mal. J’ai d’abord soupiré puis gémit. Où était Anna ? Pourquoi elle n’était pas avec moi ? Je la voulais avec moi. Et Papa, et Maman ? J’ai lentement ouvert les yeux, et j’ai observé. Observé cette pièce blanche aux murs stériles. Je n’eus aucun mal à reconnaître l’hôpital. Et je détestais pas cet endroit, mais le fait de me trouver ici, seule, ne présageait rien de bon. J’ai vu cette infirmière s’affairait autour de moi. A brancher, débrancher des machines, j’ai vu celle qui fait un bip régulier avec des bouts de droites et un chiffre qui varie légèrement. Et puis une jeune femme, j’aurais dit qu’elle avait quarante, quarante-cinq ans à l’époque, s’est approchée de moi. J’étais anxieuse, j’avais peur. Parce que elle s’approchait de moi, et je ne savais pas qui elle était, ce qu’elle voulait. Bonjour ma chérie, tu te souviens de moi ? Je fermai les yeux. Concentrant ce qu’il me restait de mes forces, je tentais de visualiser mes dernières années. Mais rien, gros trou noir. Je prenais une expression horrifiée et commençait à m’inviter. Une deuxième infirmière vint tout de suite m’administrer un truc, encore une drogue tiens. Je me re-calmai immédiatement. En attendant je ne savais toujours pas qui était cette personne. Elle me fixait droit dans les yeux, et j’aimai pas ça. Mademoiselle, vous avez subi un lourd traumatisme, et vous êtes restée plusieurs jours dans le coma. De plus il semblerait que vous ayez perdu un fragment de mémoire, que vous ne vous rappeliez pas de certaines années. J’ai hoché la tête. ET BIM ! Voila pour toi. Faut l’admettre ses paroles sonnaient un peu comme ça. Bon c’était peut-être la raison pour laquelle je ne me souvenais pas de la femme. Cependant je ne savais toujours pas ce qu’il en était de ma sœur. J’ai redirigé mon regard dans le vide avant de murmurer. Et ma sœur ? Cette question ne sembla pas satisfaire l’infirmière qui baissa les yeux. Je connaissais bien cette tête, c’est celle qu’on fait lorsqu’on a quelque chose à se rapprocher. Je suis désolée…Je fermai les yeux, une larme a roulé le long de ma joue, et puis deux, trois et toute une armée a dévalé la pente de mes joues blêmes. J’avais sept ans, plus de sœur, plus de parents apparemment et surtout presque plus de mémoire. Sympa, merci La Vie.
Dernière édition par Claire Williams-Ainsworth le Jeu 20 Jan - 18:59, édité 15 fois
Claire Williams-Ainsworth
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Sujet: Re: CLAIRE ✱ cause you broke all your promises. Mer 19 Jan - 23:38
Je l’attendais de pied ferme. Enfin non je l’attendais plutôt le sourire aux lèvres. J’étais heureuse. Heureuse que les cours soient enfin finis, heureuse d’enfin pour le revoir et me lova dans ses bras. Lui, c’était Charles. Ainsworth. Oh vous savez ça a commencé de façon plutôt banale. En prenant en compte la hiérarchie du lycée, on n’était pas fait pour s’entendre. C’était le genre de mecs qui a un répertoire long comme le bras, le mec que toutes les filles regardent quand il passe dans les couloirs, un naze quoi. Et pourtant un jour on a eu un devoir à faire ensemble. J’ai cru vomir lorsque la prof a prononcé nos deux noms. J’ai tout essayé pour faire fléchir cette satanée, mais rien à faire, elle n’a rien voulu entendre. J’étais obligée de me coltiner Charles le soir après les cours. Une corvée. Une corvée je vous le dis mes bons amis. Et pourtant cette corvée après les cours s’est lentement transformée. En attente permanente. Je rêvais de la fin de la journée quand je pourrais le voir. C’était ridicule, terriblement ridicule et pourtant j’y pouvais rien. Et pourtant ce qui n’aurais pas du arrivé, est arrivé. Je l’aimais. Et étonnamment il m’aimait en retour. On a fini par sortir ensemble. Tout en restant caché sinon c’était fini pour sa réputation. Et ça c’était évident. J’étais naïve, je ne voulais pas être la fille qui casse sa réputation, alors on reste caché. Seulement aujourd’hui j’ai grandi, et je ne veux plus être dans l’ombre. Je veux pouvoir lui tenir la main tout le temps, l’embrasser devant les autres, c’est égoïste, je le sais, mais je m’en fous. Enfin il est là, il arrive, en face de moi. Mon sourire s’étire et il m’embrasse tendrement. Mes paupières se ferment doucement. Je savoure ce moment. Charles ? Je tente une approche. Écoute, j’en ai marre qu’on soit caché, je veux pouvoir te prendre la main devant tout le monde. Je veux plus qu’on s’cache comme des gamins pris en flagrant délit. Je veux juste être avec toi et qu’on soit heureux. J’achève et baisse les yeux. Je ne prévois pas sa réaction, j’ai beau le connaître sur le bout des doigts, je ne sais pas du tout comment il va réagir. Il se tient juste là et sans que je m’y attende réellement, il se retourne. Et puis commence lentement à s’écarter, à s’éloigner. Sans un mot. Une larme ruisselle sur ma joue. Alors c’est vraiment comme ça que ça devait se finir ? sans un mot. Je l’ai laissé aller pourtant j’ai crié. CHARLES ! REVIENS. Il ne s’est pas retourné. Il a rien dit. Il est parti sans un mot. Et voilà comment ça s’est terminé. Et pourtant, je ne le savais pas, du moins pas encore, mais il est revenu. Je ne sais pas pour quelle raison, peut-être parce qu’il m’aimait. Enfin sachez qu’il m’a embrassée. Devant tout le monde. Et j’en suis bien fière tiens. HAHAHA. ON a recommencé de sortir ensemble. Au grand jour cette fois. Et j’appréciai, lui tenir la main en allant au lycée, lui tenir dans les couloirs, et en sortant. J’aimais mes journées, j’aimais ma vie, j’aimais Charles.
Aujourd’hui c’était notre anniversaire. Quatre ans de bonheur, d’amour, de sincérité. Finalement l’amour c’était pas si mal que ça. Et pourtant il y avait parfois des complications. Il y a deux semaines j’avais appris que j’étais enceinte. Et ça faisait un joli choc. J’avais que dix-huit ans, je ne pouvais pas le garder. Mes parents étaient morts, j’occupais déjà la maison de ma tante, je ne pouvais pas lui infliger un enfant. Pas après tout ce qu’elle avait fait pour moi. Je ne savais pas quoi faire. Et puis il y avait Charles, je devais lui dire. Il était en total droit de savoir, après tout c’était tout de même lui le père de cet enfant. Quelque soit la décision que je prendrais, il devait être d’accord avec moi, on devait être d’accord. Je l’ai entendu sonner à la maison. J’étais anxieuse, mes mains tremblaient. Je le faisais rentrer, l’embrassant tendrement, amoureusement. Charles, faut que je te dise quelque chose. J’avais pris ce ton dramatique. Celui que je prenais lorsque j’avais un truc important à dire. J’ai baissé les yeux et dit tout d’une traire. Je suis enceinte, Charles. Enceinte de toi. Je suis désolée, j’aurais du faire plus attention. Je guettai sa réaction avec inquiétude. Je me demandais s’il fuirait à nouveau. Comme il avait fait quelques années auparavant ou si il ne dirait simplement rien. Et pourtant je n’aurais imaginé sa réponse, comme celle qu’il me donna. Il m’attira dans ses bras avant de s’agenouiller par terre. Claire, épouse-moi. Toi et moi élèverons cet enfant, notre enfant comme il se doit, tu ferras une excellente mère, et j’essaierais d’être un bon père pour lui. Mais c’est toi que j’aime, alors marrions nous. Les larmes aux yeux, je lui sautais au coup, qu’importe l’âge je m’en fichais, ce que les autres diraient, ce que ma tante penserait, je l’aimais, voilà tout ce qui comptais. Oui, oui, oui, marrions nous. Je savais qu’il n’y aurait pas de cérémonie, qu’importe, je m’en fichais, je voulais juste être avec lui, pour le restant de vie.
J’attendais. Je sais même pas ce que j’attendais. Je restais là, plantée devant cette grosse pierre. Et enfin je me décidais à déposer le bouquet de fleur que je gardais dans mes mains depuis une demi-heure déjà. Sur la grosse pierre rectangulaire on lisait. « Caroline Williams-Ainsworth. 1997-2009. Gone to early. Always in our hearts. » Elle était morte. Partie à tout jamais. Lorsqu’elle était née, on lui avait diagnostiqué une maladie incurable qui accélérait le vieillissement, la progeria. Mais c’était tout de même notre enfant et on ne devait pas l’abandonner juste pour ça. Ça avait été dur, il avait fallu supporter le regard blessant des autres, j’avais couper les ponts avec ma tante, enfin elle avait plutôt coupé les ponts. Mais Charles m’aimait encore, me soutenait encore, était encore présent, là pour nous. Il m’aidait à tenir. Treize ans. On nous avait dit treize ans d’espérance de vie. A onze ans elle s’était soudainement mise à parler de maison de retraire, d’hôpital, et finalement d’enterrement et de funérailles. C’était malheureux, mais c’était comme ça. On avait pas choisi qu’elle soit atteinte de cette maladie et on faisait avec, même si c’était parfois dur. Entre temps j’étais devenue psychologue, aider les autres me permettaient de m’éloigner de mes soucis de tous les jours. Charles lui était devenu réalisateur comme il l’avait toujours souhaité. On vivait heureux avec notre Caroline.
Cependant comme prédit, à treize ans, elle est partie. Morte. Ce fut dur. Plus dur que je ne l’imaginais. J’avais qu’une trentaine d’année, et déjà et ma fille, ma petite fille avait disparu. Pour toujours. Il ne restait que Charles, avec qui la communication devint difficile. Il rentrait soul, et parfois il ne rentrait même pas. Surement à dormir dans un hôtel, et évidemment il ne prenait jamais son téléphone. Je m’inquiétais pour lui, pour nous. On ne se parlait plus. Ou sinon on échangeait trois mots dans la journée. De toute façon je n’étais pas plus apte que lui. J’ai rapidement sombré dans la dépression. Cette année fut difficile pour nous et aujourd’hui on essaie de tout reconstruire. Cependant le chemin est encore long. Très long. Mais je sais qu’un jour tout redeviendra comme avant. J’y crois.
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Dernière édition par Claire Williams-Ainsworth le Jeu 20 Jan - 21:09, édité 5 fois
Louhàn C. Hookley
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Sujet: Re: CLAIRE ✱ cause you broke all your promises. Jeu 20 Jan - 0:57
C'est toi la belle gosse Bienvenue parmi nous et excellent choix de personnage
Sujet: Re: CLAIRE ✱ cause you broke all your promises. Jeu 20 Jan - 17:12
MA MADAME JT. Je t'aime trop, tu le sais ça ? J'ai pas le temps de lire le début (shame on me), je devrais pas être sur l'ordi. Mais je sens que ça va gérer, je lis ça ce soir. Et dépêche-toi de tout finir. TES REFERENCES. (Jar Of Hearts &&. Love's To Blame. )
Sujet: Re: CLAIRE ✱ cause you broke all your promises. Jeu 20 Jan - 20:13
MA MADAME SOMERHALDER :brille: Et puis moi alors. Et puis je t'aime encore plus à créer des scénarios comme ceux-là. OUAIS je me dépêche, j'ai troooooop hâte. Bah arrête, c'est grâce à toi que je les ai.
MURAAY Il se fait bien rare. MEEEEERCI.
Claire Williams-Ainsworth
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Sujet: Re: CLAIRE ✱ cause you broke all your promises. Jeu 20 Jan - 21:11
J'ai terminé. (: bon j'sais je crains, ma fiche est absolument affreuse, enfin bien mal rédigée et surtout rédigée à la va-vite. Mais promis je me rattrape en RP.