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 maëlenn-soizic ♦ just burn my body in a box.

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Maëlenn-Soizic Winstead
Maëlenn-Soizic Winstead


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MessageSujet: maëlenn-soizic ♦ just burn my body in a box.   maëlenn-soizic ♦ just burn my body in a box. EmptyJeu 20 Jan - 19:21

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« WINSTEAD, MAËLENN-SOIZIC »

❝ Life is what happens while you are busy making other plans. ❞

    Date et lieu de naissance. ✎ un vingt-six novembre mille neuf cent quatre vingt six à Cody, Wyoming. Âge ✎ vingt quatre ans. Occupation ✎ propriétaire d'un bar. eh oui, je suis jeune pour avoir aussi bien réussit hen? c'est ce qu'on appelle de la détermination . Orientation sexuelle ✎ hétérosexuelle. Statut social ✎ complètement et définitivement célibataire. Je n'aime pas avoir le sentiment d'appartenir à une personne. Groupe ✎ I don't care and I live my life as I want.


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Dernière édition par Maëlenn-Soizic Winstead le Jeu 20 Jan - 21:30, édité 4 fois
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Maëlenn-Soizic Winstead
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MessageSujet: Re: maëlenn-soizic ♦ just burn my body in a box.   maëlenn-soizic ♦ just burn my body in a box. EmptyJeu 20 Jan - 19:22


→ YESTERDAY I DIED, TOMORROW'S BLEEDING
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Je n’ai jamais compris en quoi écrire ma vie dans un journal pouvait être une source de libération. J’ai longtemps essayé, mais ça n’a jamais effacé mes craintes, mes soucis ainsi que mes chagrins. Toute ma vie, je me suis battue contre une force que je ne pouvais pas contrôler : le destin. Je voulais à tout prix que tout fonctionne comme je le désirais et que tout m’arrive comme par magie. C’est après des années d’incompréhension que j’ai fini par trouver ma lumière au bout de mon tunnel. Je crois que l’incompréhension a pris une grande place dans ma vie. De nos jours, nous ne nous comprenons plus et nous ne nous prenons pas la peine de nous expliquer les choses, clairement et simplement. C’est probablement la raison qui m’a poussé à prendre le temps d’apprécier chaque petit instant de la vie. Durant ma vie, on m’a attribué de nombreuses fautes qui ne m’appartiennent pas. J’ai longtemps voulu les assumer, mais j’ai finalement craqué, incapable de trouver la force nécessaire. On m’a trop souvent donné le mauvais rôle, se disant probablement que c’était plus facile ainsi. À une certaine époque de ma vie, j’étais celle sur qui ont rejetait la faute. C’était ainsi, je ne pouvais rien y changer. J’étais devenu celle à qui on donnait tous les torts et tous les blâmes. J’ai vécut des hauts et des bas dans ma vie que je comparerais à une éternelle montagne russe. Malgré tout, j’ai l’impression d’être à une étape cruciale de ma vie, un point de non retour. C’est maintenant ou jamais comme on dit. C’est pourquoi j’ai toujours trouvé les êtres humains complexes et intrigants à la fois. C’est comme si nous cherchions à l’infini quelque chose, sans savoir réellement ce que nous cherchons, ni comment nous pouvons le trouver. C’est probablement ce qui fait de ma vie ce qu’elle est.

26 Novembre 1986 ;
Des cris stridents retentirent dans une petite pièce blanche d’un petit hôpital de Cody au Wyoming. Déjà, avant même que je n’aie commencé à voir le monde, je protestais à propos de ce qui se passait autour de moi et me promis de changer le monde, à ma façon. J’étais têtue, que voulez-vous ? Ce jour-là, une mère en sueur et épuisée ainsi qu’un père, fier et droit, venait d’avoir leur premier enfant, c’est-à-dire moi-même. Je pourrai toujours dire que c’était les plus heureux parents du monde, ce qui n’est pas faux, mais ce serait répété des histoires déjà écrites maintes et maintes fois. Alors, j’aime mieux dire qu’ils étaient simplement heureux et comblés. Je savais que mes parents n’avaient pas toujours eu la vie facile, mais franchement, j’avais toujours eu énormément d’admiration pour eux. Ils avaient eu longtemps un seul et même désire, celui d’avoir un enfant. Si seulement ils avaient su ce qui s’en venait, je crois qu’ils auraient rebroussé chemin. Non pas qu’ils n’aiment pas leurs enfants, nous sommes 3 enfants dans la famille, mais disons plutôt que nous leur avons donné du fil à retorde. Bon, je reviens à mon histoire. Voilà, mes parents désiraient avoir un enfant. Ils avaient essayés de nombreuses années mais cela n’avait donné aucun résultat. Je fus probablement le coup de pouce qu’il leur manquait pour procréer puisqu’après ma venue, mon frère vint et ensuite ma sœur. Bref, à cause de ce coup plutôt dur pour eux, plusieurs auraient probablement laissé tomber depuis longtemps. Mais pas mes parents ! Ils avaient une force et une dignité à couper le souffle. Même encore aujourd’hui, je me demande comment ils ont pu faire pour passer à travers autant d’épreuves. Quoi qu’il en soit, leur amour étant inconditionnel, ils n’avaient pas laissé tomber et j’étais arrivée, à bon port et en bonne santé.

15 Juillet 1996 ;
« Sors de ma vie James ! »
« Combien de fois il va falloir que je te dise combien je suis désolé …? »
« Je ne veux plus en entendre parler. Prend tes choses et va-t-en ! »
« Et les enfants dans tout ça ? »
« Ils resteront avec moi. Je ne veux pas que tu t’approches d’eux. »

Ça y est. L’amour et les confiseries parties, la joie et l’amour enfuient, c’est tout ce qui restait du couple anciennement si amoureux. Comment de telles choses peuvent arriver ? Comme un couple pouvait en venir à se point, se détester et oublier que la séparation ne les concernait pas uniquement ? Mon père venait de franchir le seuil de la porte et jamais je n’aurai pu me douter que ce serait là la dernière fois que je le verrai. Il avait fait une bêtise, jamais il ne se le pardonnerait. Coucher avec sa secrétaire venait de lui coûter ce qu’il avait de plus précieux au monde, la garde de ses trois enfants. Je n’ai d’ailleurs jamais compris ce que mon père avait eu en tête ni même pourquoi il n’a par la suite jamais retenté de nous revoir, ses enfants. C’était une bêtise, certes, mais la bêtise de mon père venait de nous coûter la présence d’un être important. Dans ma tête de petite fille, je croyais dure comme fer que ma mère pourrait lui pardonner et que tout puisse revenir comme avant. Une larme avait coulé sur mes joues, je m’en souviens comme si c’était hier. Je savais à ce moment précis, même si je me suis voilé la face durant de nombreuses années, que mon père était parti pour de bon. Il n’y avait rien à faire …

« Je te déteste ! »

Comme la colère d’une enfant est incontrôlable, ma mère ne tenta pas de me rattraper ce fameux jour, se disant probablement que cette petite crise passerait. Et comme de fait, bien que je m’ennuyais énormément de mon père à l’époque, j’oubliais peu à peu ce qui s’était passé pour me concentrer à aider ma mère. Elle qui se retrouvait maintenant seule à élever 3 enfants, ce n’était pas de tout repos, j’en étais consciente, même à cet âge. Je donnai donc toute mon énergie à élever mon jeune frère et ma jeune sœur.

04 Août 1997 ;
Une année avaient passé depuis que mon père avait quitté le domicile familiale. Une année durant laquelle la petite famille se consolida plus que jamais. Nous étions tellement proches, tissés serrés comme disait ma mère. En fait, je n’avais pas à me plaindre. C’était comme ça, simplement. Nous étions heureux et nous avions quelque chose que peu de personnes peuvent se vanter d’avoir : des personnes qui sont présents pour vous. Je n’oublierai jamais ces années qui sont probablement pour moi les plus heureuses années de ma vie, sans compter ma vie actuelle bien entendu. J’étais tellement proche de ma famille que s’en était presque étouffant. Malgré tout, je savais que cette chance ne passerait pas deux fois et que j’étais mieux de la saisir avant qu’elle s’enfuit. C’est durant cette année que ma mère fit la rencontre d’une nouvelle personne dans sa vie, Dwane. C’est justement un 4 Août qu’il rentra officiellement dans nos vies. Ce n’était pas une erreur de la part de ma mère, non. Elle était heureuse et ça se voyait de loin. J’étais contente pour elle car elle avait retrouvé foie en l’amour, ce que je ne croyais plus possible de sa part. C’était notre nouveau départ à nous, une nouvelle petite famille réunit … Cependant, comme les pensées d’un enfant ne sont parfois pas très réalistes vis-à-vis la situation vécue, je ne vis pas les souffrances que ma mère subissait de la part de ce nouveau père de famille. Quelques mois après son arrivé dans notre petite famille, je fis la découverte qui me tenu en horreur pour le restant de mes jours. Dwane, ce gentil père de famille venu nous sauver, n’était rien d’autre qu’un sale hypocrite, manipulateur et provocateur. Non, il ne violentait pas ma mère comme nous le voyons dans les films, de façon physique et évidente, mais bien de façon mentale. En effet, il s’attaquait au fragile état psychologique de ma mère en la traitant comme une moins que rien. Je dû donc grandir, malgré moi, dans un environnement familiale plutôt difficile puisque je devais subir les râlements de ce cher Dwane … C'est à cause de ce dernier que ma mère fit la pire erreur de sa vie. Afin d'oublier et de tenter d'être heureuse à sa façon, elle s'enferma dans l'alcoolisme. Les verres de tequila devenaient ses meilleurs amis ... Et moi je me retrouvais seule à tenter de protéger mon frère et ma soeur.

15 Janvier 2000 ;
J’avais grandit depuis le temps. J’étais devenue une jeune femme en pleine capacité de ses moyens. Je voyais l’image que le miroir projetait et j’en étais plutôt fière. Sans arrogance, j’avais pris l’habitude de me faire siffler lorsque je marchais dans les rues. À l’école, je savais pertinemment ce que les autres pensaient de moi. J’usais alors de ce que le Bon Dieu m’avait donné pour me faire des amis ainsi que pour avoir des conquêtes. Je n’étais pas une Sainte, j’en suis consciente mais je tentais de comprendre à ma façon la vie. Je savais qui j’étais, contrairement à la majorité des autres filles de mon âge, ce qui devait probablement plaire aux garçons. Alors que certains se demandaient encore si elles devaient mettre des culottes éléphants ou des brésiliennes, moi j’avais fait mon choix depuis longtemps. Je savais ce que je voulais et je ne me cachais pas. La majorité des filles éprouvaient une haine inconditionnelle envers moi. Ce n’était pas tant le fait que je savais qui j’étais qui les perturbait, mais probablement le fait aussi que sans le vouloir profondément, je les éclipsais sur plusieurs points. Je n’aimais pas me retrouver en perpétuel conflit avec ces dernières mais comme la jalousie est un défaut très difficile à contrôler, je ne pouvais pas y faire grand-chose. C’est à cet époque que je compris que parfois on vous attribue des fautes sans même que vous ailliez levé le petit doigt … C'est également à cet âge que je réalisa combien la vie était loin d'être comme je me l’imaginais. À mes 14 ans, je pris une des meilleures décision de ma vie : devenir une fervente végétarienne. J'avais vu la torture que subissait ces pauvres animaux et je me promis de ne pas embarquer dans cette bêtise de la mondialisation.

Dans mon environnement familial, c’était devenu insupportable. La situation était si étouffante que je ressentais continuellement le besoin de m’évader. Inconsciemment, j’appris que l’amour et les relations de couple ne seraient probablement jamais faits pour moi. J’avais alors développé une sorte de peur des relations stables ce qui me faisait faire d’énormes bêtises. Un jour, lors de mes 15 ans, je décidai de moi-même que s’en était trop. Il fallait que je fasse quelque chose pour sortir ma mère de ce mauvais pas. Décidé à en finir une bonne fois pour toute, je pris le téléphone et composa, pour la seule fois de ma vie, le numéro de la police. Quelques minutes plus tard, elle débarqua chez moi et emmena Dwane dans un monde où nous n’existions plus. Nous étions enfin libérés… Du moins, c'est ce que je croyais...

31 Décembre 2005 ;
« 3, 2, 1 … Bonne année ! »

Je venais tout juste d’avoir 18 ans un mois plus tôt et ceux étant déjà passé par là savent très bien que cela n’arrive qu’une fois dans une vie et que ça se fête. Je devenais alors une jeune femme forte et fière, encore plus qu’au Lycée. À 18 ans, j'avais maintenant des droits que je n'avais pas auparavant. Décidant que pour mon propre bien je dû partir, je quitta le domicile familial et laissa ma mère alcoolique seule avec ses nouveaux amis. J'avais décidé que j'avais assez souffert et que mon frère et ma soeur également. Je les amenai donc avec moi et on se prit un appartement. Je dois l'avouer, la vie n'était pas toujours facile car j'ai eu jeune des responsabilités que je n'aurais jamais dû avoir. Quoi qu'il en soit, j'ai vieillit et j'ai mûrit. Grâce à cela, je suis devenue forte et fière de moi même. J'ai pris de grandes décisions qui s'imposaient. Les années passèrent et mon frère ainsi que ma soeur grandissaient. Ils étaient désormais apte à voler de leurs propres ailes, et moi à faire ce que je désirais par dessus tout faire.

Les années ont passé, ma vie a continué lentement son cours. Les relations d’un soir se sont enchaînées, je suis restée prise dans une sorte de spirale sans émotion ni même sans respect pour moi-même. J’étais une jeune étudiante dévergondée dont la réputation la précédait depuis longtemps. C’est à ce moment que j’ai décidé de m’éloigner de mon passé tumultueux et de tenter mon propre nouveau départ. J’ai seulement pris les décisions qui s’imposaient alors à l’époque en coupant les ponts avec mes relations destructrices et en ne gardant aucun lien avec mon passé. Je m'envola vers une nouvelle destination. Depuis, une nouvelle Maëlenn est née. Une fille légèrement bohème, solitaire et indépendante. Une fille qui n’a pas besoin d’hommes pour être heureuse, mais simplement besoin de temps pour réfléchir et prendre de bonnes décisions. J’ai décidé que plus jamais je ne souffrirais comme j’ai souffert et c’est avec une certaine paix intérieure que je vis maintenant mon propre destin. Celui que j’ai moi-même décidé d’écrire.

17 juillet 2008;
J'avais pris la décision quelques années plutôt de laisser tomber les fêtes et de me concentrer sur ce qui était réellement important. J'étudiais alors en médecine et je m'étais ralliée à certains groupes que je trouvais particulièrement importants, comme les groupes environnementaux et de protection des animaux. J'étais une jeune femme active et en quelques mois, mon rôle au sein de ces groupes avait prit de l'expansion. J'y avais fait de nombreuses connaissances, dont une personne qui devint rapidement mon plus grand ami. Il émit l'idée de voyager et de faire le tour du monde. Cela m'enchanta immédiatement, moi qui n'était jamais partie de mon pays natale, mais qui avait surtout cette haine envers ma petite ville. Je rêvais de voyager, de changer d'air et d'oublier pour un temps tous mes tracas. D'ailleurs, lui aussi rêvait de se casser de cet endroit. Sur un coup de tête, j’avais laissé tomber mes aspirations de devenir médecin et j’avais pris le premier vol pour m’amener le plus loin possible de ce monde. Nous avons parcouru le monde à la recherche de causes à défendre - et
comprendre surtout - et je me rendis compte que c’était comme cela que je voulais vivre. Vivre sans réfléchir aux conséquences de nos actes, c’était facile. Mais, apporter des changements et protester contre les vraies choses importantes concernant notre planète, c’était plus difficile. C’était le choix que j’avais fait et avec mon nouvelle ami, nous faisions à notre façon la différence. Je rencontrai énormément de personnes qui partageaient mes convictions et cela me rassura entièrement. J’avais pris le bon choix en quittant tout et j’étais fière de ce que j’étais devenue. J’oubliai peu à peu ma vie passé et mes gestes actuels me firent comprendre beaucoup de choses. Ainsi, je pris beaucoup de recul et pris la décision de couper entièrement les ponts avec ma famille. Depuis ce temps, je n’ai plus aucune nouvelle ni de ma mère, ni de ma sœur, ni de mon frère. Je préfère que cela en soit ainsi, c’est beaucoup plus facile. Je peux donc me concentrer sur des choses réellement importantes ...

Janvier 2010;
En apprenant la mort de Christopher, un de mes amis d'enfance, je fus sous le choc. Voilà maintenant un peu plus d'un an que je voyageais constamment et je pouvais avouer que je n'avais plus les priorités à la même place. Sa mort me rappela brusquement qu'en partant de cette petite ville, c'était une partie de moi que j'avais quitté. Sans réfléchir, je fis alors mes bagages, avec mon ami qui était devenu la personne la plus importante de ma vie désormais, et me rendis à l'aéroport le plus proche. Me voilà donc de retour à Cody, bagage à la main, le coeur remplit d'un souffle nouveau.

De nos jours;
En un an, il s'est passé beaucoup de choses. Je me suis installée dans un appartement et j'ai ouvert mon propre commerce : un bar. La vie me semble différente à Cody, c'est comme si je m'étais retrouvée dans un nouveau monde dès que j'avais posé le pied sur ce sol. À la mort de Christopher et Aria, certaines personnes se sont mises à réfléchir sur le sens de leur vie. Honnêtement, mon opinion sur l'amour n'a aucunement changé et ce n'est certainement pas une histoire à la roméo et juliette qui fera en sorte que je croirais un peu plus en l'amour. Je reste fidèle à mes bonnes vieilles habitudes.



Dernière édition par Maëlenn-Soizic Winstead le Jeu 20 Jan - 20:30, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: maëlenn-soizic ♦ just burn my body in a box.   maëlenn-soizic ♦ just burn my body in a box. EmptyJeu 20 Jan - 19:48

Bienvenue & bonne chance pour ta fiche I love you
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MessageSujet: Re: maëlenn-soizic ♦ just burn my body in a box.   maëlenn-soizic ♦ just burn my body in a box. EmptyJeu 20 Jan - 19:51

merci maëlenn-soizic ♦ just burn my body in a box. 123503
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MessageSujet: Re: maëlenn-soizic ♦ just burn my body in a box.   maëlenn-soizic ♦ just burn my body in a box. EmptyJeu 20 Jan - 20:40

Je crois avoir terminé maëlenn-soizic ♦ just burn my body in a box. 48518
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MessageSujet: Re: maëlenn-soizic ♦ just burn my body in a box.   maëlenn-soizic ♦ just burn my body in a box. EmptyJeu 20 Jan - 21:41

C'est parfait, je te valide Wink
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MessageSujet: Re: maëlenn-soizic ♦ just burn my body in a box.   maëlenn-soizic ♦ just burn my body in a box. EmptyJeu 20 Jan - 21:42

merci à toi maëlenn-soizic ♦ just burn my body in a box. 86613
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MessageSujet: Re: maëlenn-soizic ♦ just burn my body in a box.   maëlenn-soizic ♦ just burn my body in a box. Empty

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